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(1) La planche jointe à tation de deux médailles re qui sera aussi inséré dans (2) Édit. de Tychsen, F

P. 72.

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Société Asiatique un dessin qui le reproduit fidèlement (1)..

Quant aux autres médailles, et particulièrement à celles qui n'étaient pas connues antérieurement, les amateurs de la science numismatique orientale doivent les trouver fort intéressantes, et nommément la monnaie de Heddjadj, qui est sous le n° 10. Elle s'accorde encore plus que celle qui a déjà été publiée, avec la description donnée par Abou-Mohammed Hassan, dans le traité de Makrizy sur les mémoires musulmáns (2). Mais leur intérêt sera encore bien plus grand lorsqu'on aura une fois acquis des renseignemens sur les personnes dont elles portent les noms, ce qui sera bien plus difficile à l'égard des autres. J'ai déjà essayé de déterminer dans mon premier mémoire quels étaient les personnes mentionnées sur quelques-unes des médailles que je connaissais alors (commes, Jew,

); mais, après avoir pris connaissance de ces nouvelles acquisitions, je n'eus pas de peine à me convaincre que je n'y avais pas réussi, même en partie. Le nom paternel qui se trouve sur la médaille n° 3, fait voir l'impossibilité de la supposition qui m'avait été suggérée par le nom de Saïd, qui se trouve sur le n° 4(monnaie fort commune). Qui pourra dire quel est ce Saïd, fils de Daladi? Il est en

(1) La planche jointe à ce mémoire contient en outre la représentation de deux médailles relatives à un autre mémoire du mên.e auteur, qui sera aussi inséré dans le Journal Asiatique.

(2) Édit. de Tychsen, p. 65, et la traduct. de M. Silvestre de Sacy,

P. 72.

core une circonstance qui pourrait aussi faire douter que Omar sur le n° 1 fût le khalife de ce nom, succes seur d'Abou-Bekr, ainsi que je l'avais d'abord supposé. Comme je ne suis pas disposé à passer sous silence les renseignemens qui peuvent affaiblir une supposition que j'aurais mise en avant, je vais faire connaître ici.. cette circonstance. Cette monnaie est fort commune;, de toutes les monnaies arabes des Chosroès, c'est celle qu'on trouve le plus souvent. Non-seulement elle se voit dans tous les cabinets de numismatique orientale connus en Europe, dont j'ai parlé dans un traité que j'ai publié il y a quelque tems; mais je l'ai trouvée dans ce pays-ci fort souvent ; et il en existe plus de cinquante exemplaires dans le dépôt dont j'ai raconté la découverte au commencement de ce mémoire. N'estil pas extraordinaire de trouver si fréquemment et en si grande quantité une monnaie qui, d'après Makrizy hui-même, doit être de toutes les monnaies d'argent arabes la plus ancienne, comme on peut le voir aussi dans l'aperçu que j'ai donné dans le mémoire déjà cité. C'est sur l'autorité du même auteur ( Makrizy} que j'ai attribué au susdit Omar la pièce n° 12, ayant seulement; mais celle que je place ici sous le n°1, ayant, outre cette légende, le nom de Heddjadj, me rend cette première supposition suspecte.

Il me semble aussi difficile de rendre raison des autres noms que l'on voit ici pour la première fois Joles to all we; ainsi je n'essayerai pas de les.. expliquer. On pourrait peut-être croire que le pre mier se rapporte à Abd-Allah-Ben-Zobaïr, des mon

ui nous porterait à croire que la monnaie ou ouvent est de l'an 76 environ. Mais il y a lieu

soit

er que ces personnages, soit gouverneurs', x, n'étaient peut-être pas d'un rang si élevé, Adjadj. Nous pensons qu'il en était de même de t bien aussi des autres, dont nous avons déjà 1 est certain qu'ils paraissent inconnus dans les musulmanes (3); peut-être aussi n'étaient-ils s directeurs des monnaies."

léja observé, dans la page 3 de mon premier méque les auteurs, qui, comme on le croyait gément, étaient en contradiction avec Makrizy, t du réglement de la monnaie arabe, fait vers de l'hégire, s'expriment cependant de manière s révoquer en doute l'existence antérieure de la

Hit. Tychsen, p. 1o, et la trad. de M. Silvestre de Sacy, p. 16. oyez Ibn-Kotaïba, dans la note 108 de Reiske sur les An-Abulf, tom. I. Elmacin, p. 32

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n trouve dans Ockley (trad. Allem. II, 288, etc.), un Hani, règne de Yezid, vers l'an 60 de l'Hégire, mais qui serait ment celui dont il s'agit ici, aussi peu que le Mokatil, qui« en 105 de l'Hégire, et qui est mentionné dans le Rauz-el (f. m. 3).

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