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assez considérable dans l'urine; est la cause de son écume, 260. Manière dont il est déplacé de ses bases par un acide plus foible, 315. Forme des sels insolubles avec la chaux, la magnésie, la baryte et la strontiane, XXXVII, 173. Se convertit en gaz oxide de carbone par la calcination des carbonates calcaires avec la limaille de fer, XLIII, 118. Cet effet n'a pas lien avec la limaille de cuivre, 119. Raison de cette différence, 133. Dégagé du carbonate de baryte naturel par les vapeurs d'eau, 286; par l'intermède de l'air, 287. Est décomposé lorsqu'on emploie le gaz hydrogène pour le dégager, 288. Son dégagement de la même base sans le concours de substances humides, 289. Sec, son action sur l'eau, 291. Ne contient pas d'eau combinée, d'après l'opinion de MM, Clément et Desormes, 205. Contient 71.4 d'oxigène et 28.6 de carbone, XXXIX, 42. Mis en contact avec le charbon, se convertit, à une haute température, en gaz oxide de carbone, 51.

chromique. Séparé de la mine de plomb rouge de Sibérie par la potasse caustique, XXXII, 73. Précipite le plomb en jaune foncé qui passe au rouge à l'air, 318; l'argent en rouge de carmin, XXXIII, 289. Sa conversion en oxide vert, 284. Ses combinaisons avec les bases salifiables, LIII, 224, 225.

citrique. Remplace avantageusement le suc de citron, XXXIII, 240. Cristallise en beaux cristaux par un léger excès d'acide sulfurique, XXXIV, 181. Son utilité dans le traitement des maladies vénériennes, 306.

cobaltique. Se tire de l'ammoniure de cobalt; ses propriétés, XXXIII, 118 et suiv. Diffère de

l'acide arsenique, 122. N'est que de l'arseniate de cobalt dissous dans un excès d'acide, d'après les expériences de M. Darracq, XLI, 75.

fluorique. Dissout le phosphate de chaux, XXXII, 240. Existe dans les topazes. LII, 297, 298. Trouvé dans une dent fossile d'éléphant, LIV, 207, LV, 259, 264. Opinion de Klaproth sur la nature de cet acide, LIV, 208. Existe aussi dans les dents humaines, les défenses du sanglier, et peut-être dans les dents de tous les animaux, LV, 264. Ne paroît point être une modification de l'acide phosphorique, 265. Les expériences de Fourcroy et Vauquelin contredisent celles de Morichini sur la présence de cet acide dans l'économie animale, LVII, 37 et suiv.

formique. Son identité avec l'acide acétique n'est pas adoptée par M. Suersen, LVI, 250, 251. Diffère de l'acide acétique, LX, 78. Propriétés qui lui appartiennent, 79.

gallique. Cause de sa propriété astringente, XXXII, 181. Trouvé par M. Such dans la gomme arabique, 319. Difficulté de l'obtenir par la méthode de Proust, XXXIV, 131. Ne produit ancun effet dans l'encre, XXXV, 39. Moyen de l'obtenir à l'état de pureté, XXXIX, 300, 301. Sa destruction par l'oxide d'étain, XLII, 92. Procédé de Richter pour sa préparation, XLIX, 58, LX, 161. Ordre de ses affinités avec le fer, XLIX, 58. Procédé de M. Fiedler pour préparer cet acide, 67. Remarques sur les différentes préparations employées pour l'obtenir, LII, 21. Propriétés de celui obtenu au moyen du procédé de Richter, 32. Manière dont il attaque le fer, LVI, 76. Celui qui existe dans le cachou diffère de celui que donne la noix de

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galles, 205. Faits pour servir à son histoire, LX, 156. Travaux de Bartholdi sur cet acide, 158.1 Examen des divers procédés des chimistes pour son extraction de la noix de galles, 159 et suiv. Tentatives pour purifier celui obtenu par le procédé de Scheele, 162, 163. Ne peut être que difficilement privé de tannin, 164. Caractère de l'acide cristallisé de Scheele, 167. Propriétés de l'acide sublimé de Deyeux, 168. Différences de ces deux acides, 170. Elémens qui le composent, 179.

kinique. Combiné avec la chaux, forme le sel de quinquina, LIX, 164. Manière de le séparer de cette base, 165. Ses caractères physiques et chimiques, 65. Comparé aux autres acides végétaux, 166: Est un acide nouveau, 167.

jaune. Obtenu par Fourcroy et Vauquelin en traitant les matières animales par l'acide nitrique, LVI, 39. Ses propriétés, 39, 40. Principes qui le constituent, 40.

du Honigstein. Caractères et propriétés qu'il présente, XXXVI, 209, 210. A beaucoup d'analogie avec l'acide oxalique, 212. Propriétés qui peuvent l'en faire distinguer, 212, 214. Semble être un acide sui generis, d'après les expériences de Klaproth, XXXVII, 88. Propriétés qui le distinguent des autres acides végétaux, selon le même chimiste, XLIV, 240. Ses affinités, sa nature, 242. hydrothionique. Nom donné par Tromsdorff au gaz hydrogène sulfuré, XXXII, 321.

lactique. Etat de nos connoissances sur cet acide, L, 272. Procédé de Schèele pour l'obtenir, 288. Les expériences de Bouillon - Lagrange sur cet acide prouvent qu'il est composé d'acide acétique et de plusieurs autres substances, 289 et suiv.

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lithique. Voy. - urique.

malique. Moyen de l'extraire de la joubarbe, XXXIV, 127; et de plusieurs plantes grasses du genre sedum, XXXV, 153. Existe dans le vin mais toujours mélé d'un peu d'acide citrique XXXVIII, 6. Se trouve constamment dans les eaux-de-vie de bierre, de eidre, de poiré, etc., 7, 8. Altère le goût de ces liqueurs, 8. Prédomine dans les vins foibles, 9, 12. Paroît se former dans la plupart des fermentations végétales. L, 322, 323. Sa présence dans les substances 'animales nouvellement constatée par Fourcroy et Vauquelin, LVI, 44, 45.

mellitique. Voy. Acide du Honigstein.

molybdique dissous dans l'acide sulfurique concentré et soumis à l'action de la pile de Volta, phénomènes qui ont lieu, LVIII, 62. -moroxilique. Découvert par Klaproth dans une substance saline trouvée sous l'écorce du murier blanc, XLIX, 36. Ses propriétés, 38, 39. -muriatique. Son action sur la mine de plomb rouge de Sibérie, XXXII, 67 et suiv. Opinion de Girtaner sur la base inconnue de cet acide, XXXIV, 309. Son action sur les sulfures métalliques, XXXVII, 61, 64. A plus de dispositions à se combiner avec les métaux très oxidés que l'acide nitrique et l'acide sulfurique, XXXVIII, 123. Explication de cette propriété, ibid. et suiv. Efficacité de sa fumigation pour désinfecter l'air, XXXIX, 76, 77. Sa préparation, 310. Formule pour déterminer la densité de l'acide sec contenu dans le liquide, 313. Tables des pesanteurs spécifiques de différens mélanges de cet acide et d'eau pure à la température de 18 degrés, 317. N'est

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point oxigéné dans les muriates d'étain et de mercure au maximum d'oxidation, XLII, 269. Série d'expériences sur sa décomposition, XLIII, 306. Son expansibilité l'emporte sur celle de l'acide nitrique, XLV, 295. Ne se combine pas avec l'oxigène lorsque celui-ci est dans l'état élastique, XLIX, 12. Son action sur le platine brut; matières qu'il enlève à ce métal, 190. Son action sur le cerium, L, 261, LIV, 38, 52. Sa décomposition annoncée par M. Fabroni à l'Institut national, LIV, 332. M. Pacchiani, qui a opéré cette décomposition par la pile de Volta, pense que cet acide est un oxide d'hydrogène, LV, 15, 17. Sa formation de toutes pièces, LVI, 116. Expériences faites par la société galvanique pour constater cette décomposition, 152. Ces expériences n'ont point eu le même résultat que celles de M. Pacchiani, 157, 159, 160. Moyens employés par MM. Cioni et Petrini pour déterminer les proportions de ses élémens, 275. Son pouvoir dispersif de la lumière, LIX, 235. Expériences de M. Sylvester sur sa formation dans l'eau par l'action galvanique, LX, 314. M. Pfaff a répété les expériences de Pacchiani, et n'a jamais pu obtenir cet acide, 315. Ces mêmes expériences, répétées par M. Alemani, ont eu le même succès que celles de Pacchiani, 323, 327, 329. oxigéné. Manière dont il agit sur l'urée, XXXII, 120 et suiv.; sur l'alcool et l'éther, XXXIV, 145 et suiv. Employé pour éprouver les couleurs, LII, 264. Accélère prodigieusement la germination des plantes, LV, 309, 310. Extemporané, XLVI, 120, XLVIII, 32, 34.

nitrique. Produit par la collision du sucre, XXXI, 14. Précipite l'urée en cristaux lamelleux rayonnés,

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