La Décade philosophique, littéraire et politique, Volume 3; Volume 37J.B. Say, 1803 |
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Page 70
... juger par la limpidité des acides dont il forme la base . C Au surplus , je soumets sans réserve l'opinion que je propose au jugement des physiciens , et si j'ai cru pouvoir la hasarder , c'est qu'il me ' paraît que les diverses ma ...
... juger par la limpidité des acides dont il forme la base . C Au surplus , je soumets sans réserve l'opinion que je propose au jugement des physiciens , et si j'ai cru pouvoir la hasarder , c'est qu'il me ' paraît que les diverses ma ...
Page 75
... juger du mérite > du systême des finances qu'on se proposait de suivre qu'autant que l'ensemble vous était soumis ; et cet en- » semble ne pouvait résulter de projets isolés sur quelques parties de recettes , de l'ouverture d'un ou de ...
... juger du mérite > du systême des finances qu'on se proposait de suivre qu'autant que l'ensemble vous était soumis ; et cet en- » semble ne pouvait résulter de projets isolés sur quelques parties de recettes , de l'ouverture d'un ou de ...
Page 101
... juger à Rome . Une lettre de Tibère le fit innocenter par le Sénat qui est peint aussi vil qu'il l'était en effet . Le Nazaréen , nommé roi des Juifs par l'empereur , refusa ce diadême et s'en retourna à Jé- rusalem par la Grèce où il s ...
... juger à Rome . Une lettre de Tibère le fit innocenter par le Sénat qui est peint aussi vil qu'il l'était en effet . Le Nazaréen , nommé roi des Juifs par l'empereur , refusa ce diadême et s'en retourna à Jé- rusalem par la Grèce où il s ...
Page 104
... juger encore , ou qui ne sont point encore parvenus à la hauteur qu'ils doivent atteindre un jour , les expose trop ou à des re- pentirs longs et tardifs , ou à une sorte d'obstination qui , dans certaines occasions et avec de la ...
... juger encore , ou qui ne sont point encore parvenus à la hauteur qu'ils doivent atteindre un jour , les expose trop ou à des re- pentirs longs et tardifs , ou à une sorte d'obstination qui , dans certaines occasions et avec de la ...
Page 105
... juger cette question neuve et singulière , s'y trompât comme ces sociétés et comme cette Cour , il n'y avait là rien d'étonnant ni rien qui ne fût réparable ; mais cette saillie de jeunesse excita contre lui , à Nancy même , un orage ...
... juger cette question neuve et singulière , s'y trompât comme ces sociétés et comme cette Cour , il n'y avait là rien d'étonnant ni rien qui ne fût réparable ; mais cette saillie de jeunesse excita contre lui , à Nancy même , un orage ...
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Popular passages
Page 117 - Mais le Ciel avait au trépas Condamné ses jeunes appas. Au Ciel elle a rendu sa vie, Et doucement s'est endormie Sans murmurer contre ses lois. Ainsi le sourire s'efface; Ainsi meurt, sans laisser de trace, Le chant d'un oiseau dans les bois 1 . (Melanges,) t.
Page 120 - L'acier tranchant sur l'acier rebondit, Des traits brisés sur l'herbe s'amoncèlent , Du bouclier jaillissent mille éclairs ; La flèche vole et siffle dans les airs , Des flots de sang sur les armes ruissellent , L'affreuse mort élève ses cent voix. Et cent échos gémissent à la fois. Quel est ce lâche au front pâle et timide ? Espère-t-il, par sa fuite rapide. Se dérober à la lance d'Isnel? Est-ce en fuyant qu'on échappe au tonnerre ? Sans gloire il tombe , et tourné vers la terre...
Page 544 - II prépare si bien l'amant et la maîtresse, Que leur âme au seul nom s'émeut et s'intéresse. On s'estime, on se cherche, on s'aime en un moment : Tout ce qu'on s'entre-dit persuade aisément ; Et sans s'inquiéter...
Page 116 - Le volcan dans sa course a dévoré ces champs; La pierre calcinée atteste son passage : L'arbre y croît avec peine, et l'oiseau par ses chants N'a jamais égayé ce lieu triste et sauvage. Tout se tait, tout est mort. Mourez, honteux soupirs, Mourez, importuns souvenirs Qui me retracez l'infidèle, Mourez, tumultueux désirs, Ou soyez volages comme elle.
Page 121 - Du Valhalla les belles messagères Planaient sur nous brillantes et légères : Un casque blanc couvre leurs fronts divins. Des lances d'or arment leurs jeunes mains, Et leurs coursiers ont l'éclat de la neige. Du brave Ornof préparez le cortège , Filles d'Odin. Cet enfant des combats , Foulant les corps des guerriers qu'il terrasse. D'une aile à l'autre , et sans choix et sans place, Porte le trouble et sème le trépas.
Page 121 - Filles d'Odin. Cet enfant des combats, Foulant les corps des guerriers qu'il terrasse, D'une aile à l'autre, et sans choix et sans place, Porte le trouble et sème le trépas. Ces feux subits qui dans la nuit profonde Fendent les airs et traversent les cieux, Semblent moins prompts: Ornof s'éteint comme eux.
Page 121 - El fond sur lui, léger comme l'oiseau : Scaldes sacrés , élevez son tombeau. En brave il meurt ; les belles Valkyries, Du grand Odin confidentes chéries, En les touchant rouvrent soudain ses yeux ; Un sang plus pur déjà gonfle ses veines ; Du firmament il traverse les plaines , Et prend son vol vers le séjour des Dieux. Du Valhalla les cent portes brillantes S'ouvrent; il voit des campagnes riantes, De frais vallons, des coteaux fortunés , D'arbres, de fleurs , et de fruits couronnés.
Page 162 - ... titre pour être placé dans une liste si honorable, que l'amitié même de M. D'Alembert , amitié que mon zèle pour l'étude m'avait méritée dès ma jeunesse, que pendant plus de quinze ans j'ai regardée comme un des premiers biens de ma vie, et dont le souvenir doux et cruel ne s'affaiblira jamais dans mon cœur, car il est des pertes qui ne peuvent s'oublier, parce qu'elles ne peuvent se réparer; et lorsque l'ami qui...
Page 288 - Ephémérides politiques, littéraires et religieuses, présentant pour chacun des jours de l'année, un tableau des événements remarquables qui datent de ce même jour, dans l'histoire de tous les siècles et de tous les pays, jusqu'au i".
Page 121 - Du grand Odin confidentes chéries , En les touchant rouvrent soudain ses yeux : Un sang plus pur déjà gonfle ses veines ; Du firmament il traverse les plaines, Et prend son vol vers le séjour des dieux. Du Valhalla les cent portes brillantes S'ouvrent; il voit des campagnes riantes, De frais vallons , des coteaux fortunés , D'arbres, de fleurs et de fruits couronnés. Là, des héros à la lutte s'exercent, D'un pied léger franchissent les torrens...