Fastes de La France [ou Faits chronologiques, synchroniques et géographiques de l'histoire de France précédés de l'histoire de la Gaule depuis l'arrivée de la race Celtique en Europe jusqu'a l'établissement des Franks.], Volume 3[F.] Bertin, 1859 |
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... s'était rendu avec sa femme auprès du vice- roi , le duc d'Arcos , qui leur fit une réception brillante et les traita de duc et de duchesse . C'est surtout à partir de ce moment que la tête lui tourna ; il ne parut plus que revêtu d'un ...
... s'était rendu avec sa femme auprès du vice- roi , le duc d'Arcos , qui leur fit une réception brillante et les traita de duc et de duchesse . C'est surtout à partir de ce moment que la tête lui tourna ; il ne parut plus que revêtu d'un ...
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... s'était tourné vers le roi et Mazarin ; le par- lement avait fait toute soumission , il avait offert d'aller jusqu'aux Pyrénées pour y saluer Sa Ma- jesté . On ne faisait valoir aucun principe contre les ordonnances et les édits ...
... s'était tourné vers le roi et Mazarin ; le par- lement avait fait toute soumission , il avait offert d'aller jusqu'aux Pyrénées pour y saluer Sa Ma- jesté . On ne faisait valoir aucun principe contre les ordonnances et les édits ...
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... s'était montré sur toutes les mers ; de grandes découvertes avaient enrichi leurs spéculations ; les deux Indes leur ou- vraient leurs richesses . Chaque année des navires aux vastes flancs parcouraient les côtes de Coromandel , de Java ...
... s'était montré sur toutes les mers ; de grandes découvertes avaient enrichi leurs spéculations ; les deux Indes leur ou- vraient leurs richesses . Chaque année des navires aux vastes flancs parcouraient les côtes de Coromandel , de Java ...
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... s'était faite à une autre époque à Paris et à Orléans . Quelques morts soudaines avaient fermé les hôtels les plus ricaneurs ; c'est ainsi que le pau- vre M. Paul Scarron s'en était allé de cette triste vie , et sa jeune veuve ...
... s'était faite à une autre époque à Paris et à Orléans . Quelques morts soudaines avaient fermé les hôtels les plus ricaneurs ; c'est ainsi que le pau- vre M. Paul Scarron s'en était allé de cette triste vie , et sa jeune veuve ...
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... s'était inquiétée de la querelle des États de la Hollande et de l'Angleterre ; elle savait que l'Espagne la fomentait , afin de pouvoir agir plus efficacement dans ses hostilités contre la France . Le souci de Mazarin à cette époque est ...
... s'était inquiétée de la querelle des États de la Hollande et de l'Angleterre ; elle savait que l'Espagne la fomentait , afin de pouvoir agir plus efficacement dans ses hostilités contre la France . Le souci de Mazarin à cette époque est ...
Common terms and phrases
18 Siècle alliés Anglais août armée assignats attaque Autrichiens avaient avril bataille bientôt Blücher Bonaparte cardinal cavalerie célèbre cent Charles chef combat commandement comte Condé conseil conseil des Cinq-Cents constitution Convention Convention nationale corps d'Espagne Danton Dates décembre déclare décret députés Directoire duc d'Orléans Dumouriez Égypte ennemis envoyé Espagnols établit États Événements politiques février force française général gouvernement guerre heures Hollande impériale janvier jour juillet juin l'Angleterre l'armée l'Assemblée l'Autriche l'empereur Napoléon l'empire l'ennemi l'État l'Europe Législation livres Louis XIV Louis XVI maréchal mars Mazarin ment mille hommes millions ministre mort mourut nation nationale nommé novembre octobre ordres paix peuple pièces de canon poëte Pologne porte premier consul président prince prisonniers Prusse Prussiens puissances quatre reine Religion république reste révolution Robespierre royale royaume Russie s'était sénatus-consulte septembre siége soldats Statistique succès Suède Synchronismes tiers état tion traité troupes Turenne vaisseaux victoire vingt
Popular passages
Page 392 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers, aux trônes de France et d'Italie, et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Page 187 - La Commune de Paris se hâte d'informer ses frères de tous les départements, qu'une partie des conspirateurs féroces détenus dans les prisons a été mise à mort par le...
Page 312 - J'accepte le titre que vous croyez utile à la gloire de la nation. « Je soumets à la sanction du peuple la loi de l'hérédité. » J'espère que la France ne se repentira jamais des honneurs dont elle environnera ma famille. Dans tous les cas, mon esprit ne sera plus avec ma postérité, le jour où elle cesserait de mériter l'amour et la confiance de la grande nation.
Page 263 - ... politiques assis à la place des anciens. Ce qu'il nous faut de plus que l'égalité des droits ? Il nous faut non pas seulement cette égalité transcrite dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, nous la voulons au milieu de nous, sous le toit de nos maisons. Nous consentons à tout pour elle, à faire table rase pour nous en tenir à elle seule. Périssent, s'il le faut, tous les arts, pourvu qu'il nous reste l'égalité réelle.
Page 74 - Louis xiv , ni pacifique , ni guerrier : il avoit les formes de la justice, de la politique, de la dévotion , et l'air d'un grand roi. Doux avec ses domestiques , libéral avec ses courtisans , avide avec ses peuples , inquiet avec ses ennemis, despotique dans sa famille , roi dans sa cour, dur dans ses conseils , enfant dans celui de conscience, dupe de tout ce qui joue le prince, les ministres , les femmes et les dévots ; toujours gouvernant, et toujours gouverné, malheureux dans ses choix ,...
Page 250 - Cette sixième campagne s'annonce par des présages sinistres : quelle qu'en soit l'issue , nous aurons perdu de part et d'autre quelques milliers d'hommes de plus, et il faudra bien que l'on finisse par s'entendre, puisque tout a un terme , même les passions haineuses.
Page 265 - La loi agraire, ou le partage des campagnes, fut le vœu instantané de quelques soldats sans principes, de quelques peuplades mues par leur instinct plutôt que par la raison. Nous tendons à quelque chose de plus sublime et de plus équitable. Le bien commun ou la communauté des biens ! Plus de propriété individuelle des terres : « la terre n'est à personne ». Nous réclamons, nous voulons la jouissance communale des fruits de la terre : « les fruits sont à tout le monde».
Page 134 - Un long intervalle s'était écoulé depuis la dernière tenue des états généraux, et quoique la convocation de ces assemblées parût être tombée en désuétude, je n'ai pas balancé à rétablir un usage dont le royaume peut tirer une nouvelle force, et qui peut ouvrir à la nation une nouvelle source de bonheur.
Page 134 - Mais tout ce qu'on peut attendre du plus tendre intérêt au bonheur public , tout ce qu'on peut demander à un souverain , le premier ami de ses peuples , vous pouvez, vous devez l'espérer de mes sentiments.
Page 128 - Que les vaisseaux neutres puissent naviguer librement de port en port et sur les côtes des nations en guerre.