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Te bornois ta gloire à l'utile,
Ta te faisois entendre au cœur,
Et le devoir par toi facile
Conduisoit l'enfance au bonheur.

etc.

ouvrage particulier. Les versions de cet auteur sout écrites avec assez de noblesse; mais son style, quelquefois sec et languissant, et ses périodes VI. FONTAINE (Nicolas), né trop longues, leur font perdre une à Paris en 1625, confié, à l'àge de partie de leur prix. Ces défauts se vingt ans, aux célèbres solitaires de font sentir dans ses autres ouvrages. Port-Royal, se chargea d'abord d'é- | On a encore de Fontaine les Quvres veiller les autres; mais dans la suite, de saint Clément d'Alexandrie, trail eut le soin plus noble des études duites du grec, avec les Opuscules de quelques jeunes gens qu'on y éle- de plusieurs autres Pères (saint Nivoit. I employoit ses heures de sus, saint Proclus, saint Athanase), loisir à transcrire les écrits des fig., Paris, 1696, in-8°, etc., hommes illustres qui habitoient cette solitude. 11 suivit Arnauld et VII. FONTAINE ( Alexis), né à Nicole dans leurs diverses retraites. Clavaison en Dauphiné, vers l'an Il fut enfermé à la Bastille avec Sacy 1725. Destiné dans sa jeunesse à l'éen 1664, et en sortit avec lui en tude des lois, il étoit dégoûté du 1668. Ces deux amis ne se quittèrent style barbare dans lequel elles sont plus. Après la mort de Sacy en 1684, la plupart rédigées et commentées, Fontaine changea plusieurs fois de lorsqu'un livre de géométrie lui étant retraite, et s'établit enfin à Melun, tombé entre les mains, il se sentit né où il mourut le 28 janvier 1709. On pour cette science. Lié avec Clairaut a de lui, I. Vie des Saints de l'an- et Maupertuis, il fit bientôt de grands cien Testament, Paris, 1679, en pas vers elle, il s'occupa principa5 vol. in-8°: ouvrage composé sous lement du Calcul intégral, fut reçu les yeux de Sacy, et qui peut être de l'académie des sciences, et moude quelque utilité pour l'histoire sa- rut le 21 août 1771, à Cuiseaux en crée. II. Les vies des Saints, pour | Franche-Comté, àgé d'environ 46 tous les jours de l'année, Paris, ans. Fontaine avoit la repartie in1679, 5 vol. in-8°. C'étoient les plus génieuse et fine; insensible aux exactes avant celles de Baillet. III. Les jouissances du luxe et au soin de figures de la Bible, attribuées à Le ses affaires, il avoit la franchise d'aMaistre de Sacy, qui y eut quelque vouer tout ce qu'il pensoit, tout part. Les meilleures éditions de ce ce qu'il sentoit. On peut en juger par livre si souvent réimprimé, sous le les traits suivans. Son avocat l'entitre de Bible de Royaumont, sont tretenoit d'un procès important dout celles de Paris, 1670 et 1674 in-4°; il l'avoit chargé. « Croyez-vous et d'Amsterdam, 1680, in-8°, avec lui dit le géomètre après l'avoir figures; et enfin Paris, 1723, in-fol., écouté quelques minutes, qu'il me ibid. IV. Mémoires sur les soli- reste assez de temps pour m'occuper taires de Port-Royal, en 2 volum.de votre affaire. » On lui avoit fait in-12; très-détaillés, et même jus-connoitre un mathématicien qui paqu'à la minutie. V. Traduction des roissoit très-instruit. « J'ai cru un Homélies de S. Chrysostome sur les épîtres de saint Paul, en 7 vol. in-8°. On accusa l'auteur d'être tombé dans le nestorianisme; le jésuite Daniel le dénonça; l'arche-minutieux dissertoit devant lui sur vêque de Paris, Harlay, le con- les peines qu'il s'étoit données pour damna. Fontaine se justifia dans un déterminer le prix commun des

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moment, dit-il, qu'il valoit mieux que moi, et j'ai reconnu que j'en devenois jaloux; heureusement il m'a rassuré depuis. » Un homme

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de Vermandois, avec des notes. Du Cange l'a fait imprimer à la suite de l'Histoire de saint Louis par Joinville, 1668, in-fol. La bibliothèque impériale possède plusieurs manuscrits de l'ouvrage de Pierre des Fontaines.

denrées à diverses époques. « Voilà, dit Fontaine, un savant qui sait le prix de tout, excepté celui du temps. » Ses Memoires, qui sont dans le recueil de l'académie, ont été imprimés séparément en 1 vol. in-4°. Ils renferment une méthode pour les problèmes de maximis, plus générale que celle de Jean Ber- + II. FONTAINES (Marie-Louisenouilli; une solution nouvelle pour Charlotte DE PELARD de Givry, celui des tautochrones; une mé- épouse de N., comte de), étoit fille thode d'approximation pour les é- du marquis de Givry, commandant quations déterminées: le calcul in- de Metz, qui avoit favorisé l'étatégral en fait la plus grande partie, blissement des jésuites dans cette et Fontaine est le premier géomètre ville: ils lui firent, par reconnoisqui se soit occupé de la théorie gé-sance une pension considérable, qui nérale et des applications de ce

calcul.

passa à ses enfans. On lui doit plusieurs productions ingénieuses, écrites sans prétention: la plus connue est l'Histoire de la comtesse de Savoie, joliroman dans le goût de Zaïde, écrit avec grace, pureté, et, comme le dit Voltaire, avec

Ce naturel aisé dont l'art n'approche point,

VIII. FONTAINE - MALHERBE ( Jean ), né près de Coutance, et mort en 1780, a fait des drames qui n'ont pas eu un grand succès, et des poésies qui en ont obtenu un peu plus. Ses drames sont Argillan, ou le Fanatisme des Croisades, tragé-imprimé en 1726, in-12, et Amédie en cinq actes, 1769; Le Gouvernophis, prince de Libye, Paris neur, drame; le Cadet de famille, 1728, in-12. Cette muse modeste ou l'Heureux retour, comédie en fut enlevée à la littérature en 1730. un acte; l'Ecole des Pères, comédie aussi en un acte. Ses autres écrits sont, I. Calypso à Télémaque, héroïde, 1761. II. La Rapidité de la Vie, poëme, 1766, qui obtint le prix de l'académie française. III. Discours sur la philosophie, 1766, in-8°. IV. Epitre aux pauvres, 1768. | Elle eut l'accessit de l'académie française. V. Fables et Contes moraux, 1769, in-8°.

III. FONTAINES (N. des), auteur dramatique peu connu, a donné au théâtre, au milieu du 18 siècle, plusieurs pièces, Orphise, Hermogène, Perside, Sémiramis, les Galantes vertueuses, Eurymédor, Bélisaire, Alcidiane, traduite de Manzini, etc., à Paris. Presque toutes ces pièces out été imprimées.

+ IV. FONTAINES (Pierre-Fran

IX. FONTAINE. Voyez Bois-çois GYOT et non pas GUYor des), SIÈRE, n° I, FOUNTAINE, ROCHE, n° IV, et HICHESIUS.

naquit à Rouen le 29 juin 1685, d'un conseiller au parlement. Les jésuites, chez lesquels il fit ses hu

I. FONTAINES (Pierre des ),manités avec éclat, lui donnèrent conseiller de saint Louis, et un des en 1700 leur habit. Après avoir propremiers auteurs qui aient écrit sur fessé 15 ans dans différens colléges la jurisprudence française. Dans son de la société, entre autres celui de livre intitulé Conseils, il a réuni | Rennes, où il étoit professeur de les coutumes de l'ancien bailliagerhétorique, il sollicita sa sortie, et

lement connu par ses ouvrages périodiques. Le premier vit le jour en 1731, sous le titre de Nouvelliste du Parnasse, ou Réflexions sur les ouvrages nouveaux. Il n'en publia que deux volumes; l'ouvrage fut arrêté par le ministère en 1752, et ce fut au grand regret de quel

l'instruction, et des gens du monde qui y cherchoient l'amusement. Environ trois ans après, en 1735, l'abbé des Fontaines obtint un nouveau privilége pour des feuilles périodiques; ce sont celles qu'il "intitula Observations sur les écrits modernes, Paris 1735 et années suivantes, in-12; commencées, comme les précédentes, avec l'abbé Granet, puis Fréron, Mairault et d'Estrées, continuées jusqu'au 34° vol. inclusivement. On les supprima encore en 1743. Cependant l'année suivante il publia une autre feuille hebdomadaire, intitulée Jugemens sur les ouvrages nouveaux, Avignon, 1745 et 1746, faits par la mème société, en 11 vol. in-12, dont les deux derniers sont de Mairault. Dans toutes ces différentes feuilles on ne trouve pas toujours ni le même goût ni la mème impartialité. Les lieux, les

l'obtint sans peine : c'est dans cette | dernière ville qu'il fit imprimer en 1715 une Ode intitulée le Vain usage de la vie, par le père Gyot de la compagnie de Jésus. Son humeur difficile et son génie indépendant avoient un pen indisposé ses supérieurs, qui lui avoient conseillé eux-mêmes de quitter leques littérateurs qui y trouvoient cloitre pour lequel il ne paroissoit pas fait. L'abbé des Fontaines étoit prêtre alors; on lui donna la cure de Torigny en Normandie; mais il ne tarda pas à s'en démettre. Il fut quelque temps auprès du cardinal d'Auvergne, comme bel esprit et homme de lettres. Quelques brochures critiques lui firent un nom à Paris. L'abbé Bignon lui confia, en 1724, le Journal des savans mort de la peste, comme on disoit alors, parce que les prédécesseurs de l'abbé des Fontaines, dans ce travail, ne le remplissoient que d'extraits de livres sur la peste de Marseille. Le nouveau journaliste ranima cette entreprise. Il jouissoit paisiblement de sa gloire, lorsqu'on T'accusa de travailler autant à corrompre la jeunesse qu'à corriger les auteurs. Il fut enfermé à Bicetre, et relaché par le crédit des amis de Voltaire. Ces deux hommes de let-temps tres si acharnés depuis l'un contre l'autre étoient alors amis. On n'avoit encore vu ni le Préservatif, ni la Voltairomanie; libelles qui n'ont fait honneur ni à l'un ni à l'autre. Quelques plaisanteries sur la tragédie de la Mort de César indisposè-meur et de passion, et chaque feuille rent son auteur, et furent le sigual d'une guerre qui a duré jusqu'à la mort du critique, arrivée à Paris le 16 décembre 1745. Piron, qui ne Taimoit point, lui fit cette Epitaphe satirique :

Sons ce tombeau gît un auleur Dos, en deux mots, voici l'histoire.

li eroit ignorant comme un prédicateur,

Il malin comme un au atoire."

l'occasion, l'amitié, les querelles, corrompoient ses jugemeus, et on y voit des éloges pompeux et des critiques maligues du mème écrivain. « Des Fontaines, dit l'abbé Trublet, n'étoit pas seulement partial; il étoit homine d'hu

dépendoit beaucoup de son humeur actuelle. D'ailleurs son goût étoit plus juste que fin, et dès-lors il n'étoit pas toujours juste. Il a quelquefois critiqué, faute d'entendre ce qu'il critiquoit. Cette finesse, qui consiste dans la sagacité à apercevoir promptement les défauts et les beautés des ouvrages, il ne l'avoit que dans un degré médiocre ;

L'abbé des Fontaines est principa- mais il y suppléoit en empruntant

tre au rang de ceux dout on n'est curieux que de lire les ouvrages. Il paroissoit dans la conversation un homme ordinaire, à moins qu'on n'y agitat quelque matière de littérature et de bel esprit. I soutenoit avec

des secours. Ce n'étoit pas seule- et le ressentiment de son cœur se ment sur les matières qui n'étoient fait remarquer dans quelques-unes point de son ressort qu'il recouroit de ses critiques..... Si l'abbé des Fonaux lumieres d'autrui, paroissoit-il tames étoit quelquefois dur et piun ouvrage nouveau qui fit quelque quant dans ses écrits, dans la sobruit, il avoit grand soin de s'iu-ciété il étoit doux, affable, poli former de ce qu'on en disoit dans sans affectation de langage et de le monde et parmi les gens de let-manières. On doit cependant le mettres, sur-tout de recueillir ces critiques, en quoi l'esprit français est si fécond, les critiques tournées en bons mots, en épigrammes, critiques toujours assez bonnes, si elles sont plaisamment malignes. » C'est ce qui dounoit du prix à ses Jour-chaleur ses sentimens; mais la mènaux aux yeux du public méchant. Son style clair, vif et naturel, rendoit avec feu les bons mots qu'on Jui avoit fournis; mais c'étoit sonvent aux dépens de l'équité, de la sincérité et de la bonne foi. Il faut que je vive, disoit-il à d'Argenson, ministre d'état, qui lui répondit sèchement : Je n'en vois pas la nécessité. Alger mourroit de faim, écrivoit-il à l'abbé Prévost, s'il étoit en paix avec ses ennemis. Il fut donc toujours en guerre, el il essuya de terribles orages. Ou J'accusa souvent auprès du ministère. Un magistrat, prévenu contre lui, l'ayant fait appeler, il tàcha de se justifier. Le magistrat lui dit : « Si l'on écoutoit tous les accusés, il n'y auroit point de coupables.

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me vivacité d'imagination qui l'é-
garoit quelquefois le remettoit sur
la route pour peu qu'on la lui fit aper-
cevoir.» Outre ses feuilles, on a
encore de l'abbé des Fontaines
I. Une Traduction de Virgile,
en 4 vol. in-8°, Paris, 1743, avec
des figures de Cochin. On y trouve
des discours bien écrits, quoique
développant trop de paradoxes, des
dissertations utiles, des remarques
propres à diriger les jeunes gens dans
la lecture de Virgile et des auteurs
qui l'ont imité. Cette version, supé-
rieure aux traductions collégiales de
Fabre, de Catrou et des autres
n'est cependant rien moins que par-
faite. Le traducteur supprime sou-
vent les passages qu'il ne peut rendre.
II. Traduction des Odes d'Horace,
1754, in-12, ouvrage posthume,
Ton trouve de l'élégance, de la clarté,
de la chaleur, mais qui a les mêmes
défauts que le précédent. L'auteur
a élagué des vers entiers, des demi-
vers, comme des superfluités poé-

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Si on écoutoit tous les accusateurs, repartit l'abbé, il n'y auroit point d'muocens. » Cependant l'abbé des Fontaines, dit Fréron, étoit né avec des sentimens. a Philosophe dans sa conduite comme dans ses principes, il étoit exempt d'am-tiques; mais c'étoit la difficulté de bition; il avoit dans l'esprit une noble fierté qui ne lui permettoit pas de s'abaisser à solliciter des bienfaits et des titres. Le plus grand tort que lui aient fait les injures dont on l'a accablé, c'est qu'elles ont quelquefois corrompu son jugement. L'exacte impartialité, je l'avoue, n'a pas toujours conduit sa plume,

les rendre qui embarrassoit le traducteur, et le plus court étoit de l'éluder. III. Poésies sacrées, traduites ou imitées des psaumes, ouvrage de sa jeunesse, et qui n'eu est pas moins froid. IV. Lettres sur le livre de la Religion chrétienne prouvée par les faits de l'abbé Houtteville, Paris, 1722, in-12.

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lation, assez mal digérée, la Vie de l'auteur, un catalogue de ses ouvrages, et uu autre des écrits faits contre lui.

II. FONTANA (Dominique), né à Mili, sur le lac de Lugano, en 1543, vint à Rome à l'âge de 20 ans, pour y étudier l'architecture. Sixte V, qu'il avoit connu et même obligé lorsqu'il n'étoit encore que le cardinal Montalte, le choisit pour sou architecte quand il eut obtenu la tiare. Ce pontife avoit conçu le projet de mettre sur pied l'obélisque de granit d'E

Elles sont au nombre de 18, et la plupart très-judicieuses. V. Paradoxes littéraires sur l'Inès de Castro de La Mothe, Paris, 1723, in-8°. Cette critique très recherchée se trouve encore dans le I. FONTANA (Publio), prêtre huitième volume des Amusemens de Palluccio près de Bergame, eut du cœur et de l'esprit. VI. Entre- le talent de la poésie latine et les tiens sur les Voyages de Cyrus de vertus de son état. Le cardinal AlRamsay, Nanci, 1728, in-12, au- dobrandin ne put jamais lui faire tre critique fort sensée, faite en quitter sa solitude. Il mourut en société avec l'abbé Granet. VII. Ra- | 1609, à 62 ans. Le principal de ses cine vengé, ou Examen des remar- ouvrages, imprimé à Bergame en ques grammaticales de M. l'abbé 1594, in-fol., est son poëme de la d'Olivet sur les Œuvres de Racine, Delphinide. Il y a de la grandeur, Avignon, 1739, in-12. Cette bro- de la noblesse, de l'élévation et peutchure prouve que l'abbé des Fon-être un peu d'enflure dans le style. taines connoissoit le génie de sa langue. VIII. Les Voyages de Gulliver, traduits de l'anglais de Swift, Paris, 1762, 2 v. in-12. IX. Lenouveau Gulliver, Paris, 1730, 2 v. in12. li ne vaut pas l'ancien: mais si l'on | n'est pas satisfait de l'invention, on y reconnoit du moins le même goût de style et de critique mòrale qui avoit fait la réputation de celui de Swift. X. Les Aventures de Joseph Andrews, traduites de Fiel-gypte, qu'on voit actuellement sur ding, Londres, 1750, 2 vol. in-12. la place de Saint-Pierre à Rome, et XI. L'Histoire de Don Juan de qui alors étoit à moitié enterré près Portugal, Paris, 1724, in-12, ro- du mur de la sacristie de cette église. man historique, dont le fond est Il proposa un concours aux artistes, daus Mariana. XII. L'abbé des Fon- ingénieurs et mathématiciens, pour taines a eu part à la Traduction de imaginer les moyens de redresser ce l'Histoire du président de Thou; à précieux monument de la magnifiHistoire des Révolutions de Po- cence romaine, haut de 107 palmes, logne ; à celle des ducs de Bretagne; d'une seule pièce, et du poids d'enà la Traduction de l'Histoire Ro- viron un million de livres. Les promaine de Laurent Échard: à l'His- cédés dont les Egyptiens et les Rotoire abrégée de la ville de Paris, mains s'étoient servis, soit pour par d'Auvigny, 5 vol. in-12; au Dic- transporter, soit pour élever en l'air tionnaire néologique,in-12,ouvrage ces masses énormes, étoient enséestimable, fait pour guérir quelques velis dans l'oubli; la tradition ne auteurs qui écrivoient comme par- fournissoit rien à ce sujet, et il falloient les laquais des Précieuses, mais loit nécessairement imaginer. Fonqu'il infecta de satires personnelles. tana présenta au pape le modele L'abbé de La Porte a publié, en 1757, d'une machine propre à cette opéral'Esprit de l'abbé des Fontaines, en tion, avec laquelle il exécutoit en 4 vol. in-12. On trouve à la tête petit ce qui devoit se pratiquer en du premier volume cette compi-grand. L'exécution répondit à l'at

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