...« J'ai vu dans plusieurs work-houses, dit M. Buret en parlant de l'affreux moulin à bras, j'ai vu des machines de ce genre presque toutes en repos, parce qu'elles avaient mis eu fuite les malheureux condamnés à les faire mouvoir, et j'ai la conviction que les plus affreuses...

...condition qu'il achetera le secours beaucoup plus cher qu'il n'a jamais payé le droit d'existence, au prix d'un travail forcé, purement mécanique,...avaient mis en fuite les malheureux condamnés à lés faire mouvoir, et j'ai la conviction que les plus affreuses extrémités, les dernières soulfrances,...

...condition qu'il achètera le secours beaucoup plus cher qu'il n'a jamais payé le droit d'existence, au prix d'un travail forcé, purement mécanique,...J'ai vu dans plusieurs Workhouses des machines de ce ijenre ; presque toutes en repos, parce qu'elles avaient mis en fuite les malheureux condamnés à...

...secours « l'achètera beaucoup plus cher qu'il n'a jamais payé le droit d'exister ; il les obtiendra au prix d'un travail forcé, purement mécanique et...supplice , le supplice du moulin à bras. J'ai vu des machines de ce genre presque toutes au repos; elles avaient 1 E. Buret, vol. i, p. 163. rais en...

...famille , de ses enfants , car les âges et les sexes sont isolés dans le Work-house comme dans le prison, et de plus à condition, qu'il achètera ce...supplice; le supplice du moulin à bras ! — j'ai la conviction que la plus affreuses extrémités, les dernières souffrances, sont préférable à...

...travailleurs libres du district dans lequel le work-house est situé. Encore n'achètent-ils ce secours qu'au prix d'un travail forcé, purement mécanique, et...véritable supplice, le supplice du moulin à bras! On conçoit dès lors que ces machines mettent en fuite les malheureux condamnés 4 les faire mouvoir....